Le principal chemin qui peut nous amener au bonheur dans la vie.
Le travail placé comme le premier mot de l'existence est retrouver partout dans chaque société à travers le monde, ce mot mis en application pour désigner la même chose dans tous les domaines existant, et qui est aussi mentionné dans plusieurs livres, particulièrement dans la Bible créole qui l'utilise à la place du mot "proverbe", a aussi sa racine étymologique, son histoire même s'il fait aussi partie de l'histoire du développement de l'humanité et son existence physique depuis même avant la création.
Provenant du latin " Tripalium" désignant un instrument qui servait à attacher les animaux pour les soigner ou les ferrer et également utilisé comme instrument de torture pour punir les esclaves dans l'antiquité , le mot travail mis en vogue depuis les temps anciens et dont l'attribution de son invention a été destinée à Léonard de Vinci parce qu'il a inventé en 1842 le premier curriculum vitae ( cv). Ainsi au XVII ème siècle le travail dans sa signification est due à une source de revenus, puis devenue une activité productive d'après le dictionnaire historique de la langue française d'Alain Rey.
Pourquoi devons-nous travailler ?
Le travail c'est la liberté " travay se libète", ce proverbe utilisé beaucoup dans la société haïtienne est le plus souvent cité à maintes reprises pour encourager un Être qui travaille, ou bien plus pour prouver dès qu'on a un travail on est devenu très indépendant, surtout quand ce dernier nous rapporte tant de fortune. Dans un sens large, selon les attributions faites et le rapport résultant du terme, nous travaillons totalement pour satisfaire nos besoins afin de répondre aux exigences de la vie dans le but d'assurer notre survie, tel est notre objectif qui est très souvent difficile à atteindre vu certaines exigences quotidiennes.
Dans les pays étrangers, aux États-Unis par exemple, c'est par le travail que les membres de cette population arrivent en tout premier lieu à réussir leur vie, et ces pays étant les sources premières de l'emploi (d'où le synonyme du mot travail) reçoivent par la suite plusieurs personnes chaque année pour citer (enfants, jeunes, adultes). Par conséquent, dans certains pays pauvres, si nous prenons le cas d'Haïti, cette activité qui fait référence à la liberté et qui se fait de manière quotidienne, est considérée comme un luxe, où l'expression "parenn-marenn" est mise en évidence si toute fois vous désirez un poste, ou bien plus cette dernière " fòk ti kò w bon".
Sortant du stade luxueux, traversant les contrées sexistes sous toutes ses formes, depuis des lustres, le travail a perdu son vrai sens dans le milieu haïtien. Aucun.e jeune diplômé ne parvient pas à jouir de ses bienfaits, puisque dans presque toutes les entreprises c'est la gérontocratie ( pouvoir politique dirigé par les personnes âgés) qu'on prône, ce qui a pour conséquence la fuite de nos brillants.es intellectuels.les à destination des pays étrangers, aussi une grande baisse éducative, la défaillance économique, le non- développement, la non-production... .
Pratiqué sur toute les formes soit à caractère bureaucratique, dans les plantations, sur le terrain, dans l'espace, toutes les réalisations dans ce monde, qu'il s'agit de l'informatique, de l'industrie, de l'éducation, de l'alimentation..., sont les résultats d'un travail bien planifié (défini), et qui nécessite toujours des accompagnements de bases bien appropriés.
Définitivement, le travail qui fait recourt à la liberté dans certaines sociétés surtout en Haïti, et dont son origine provient du latin " Tripalium", est la porte d'entrée pour toutes personnes qui veulent atteindre une vraie réussite dans la vie ; de même, un bon débouché, une source de revenus dans certains pays étrangers, mais comme un luxe dans certains pays pauvres qui de jour en jour perdent le vrai sens de ce mot. Ainsi, son importance, à savoir chaque domaine de travail nécessite ses objets. Si toutefois dans un pays comme le nôtre ( Haïti) , on arrivait à valoriser le sens premier que nous attribuons au travail qui est , à quel stade du développement serions-nous aujourd'hui si nous ne restions pas figer psychiquement à demander à nos jeunes intellectuels.les des expériences professionnelles ou bien plus physiologiques avant même de leur donner un poste ?
Autrice : Christina J. Vilmé
Rubrique : Tikras Lapawòl
extensivepressehaiti@gmail.com
Super !
ReplyDelete