Dans un pays pauvre comme Haïti, la chance de réussir est extrêmement minime. Les opportunités sont rares et dès la naissance on nous fait croire que la seule issue possible d'un jeune pour sortir dans le lot c'est de passer environ 18 années d'apprentissage.
Trois (3) années de la maternelle, sept (7) années d’études primaires, sept (7) années d'études secondaires et quatre (4) années d'études universitaires. Les parents se sacrifient au quotidien et investissent tous leurs avoirs afin que leurs enfants puissent se conformer à cette règle imposée par la société.
Dans un système d’éducation ayant plusieurs vitesses, le niveau d'éducation d'un jeune haïtien dépend de son niveau social et économique. Beaucoup sont ceux qui croient après avoir terminé leurs études classiques et universitaires, la porte du succès leur sera grand ouvert. C'est un exploit certes, mais là encore l'obstacle est plus monstrueux que jamais car intégré le marché du travail en Haïti c'est le défi le plus élevé auquel font face les diplômés.
Avec les cinq (5), dix (10) ans d’expérience exigés par les patrons et les recruteurs les diplômes ne servent à rien sans "Marenn, Parenn " et la seule option c'est de laisser le Pays, ou devenir chauffeur de taxi et de motocyclette.
L’échec c'est la règle qui prévaut pour les jeunes haïtiens et la réussite c'est l’exception. Honneur et mérite à tous les haïtiens qui ont réussi, qui réussissent et qui réussiront loyalement, quand bien même en Haïti.
Rédacteur: Jean Eldy Saintilma
Très bon cet article!
ReplyDeleteTrès bon cet article!
ReplyDeleteCertaine personne la considère comme un jour spécial, mais pour une relation ampureuse c'est tous les jours doivent être comme un seul le *14 fèvrier*. Parce que l'amour n'a pas un jour dans une année mais chaque jour.
ReplyDeleteOn parle du sexe pour la *Saint Valentin*, ce besoin est 100% psychologique; ce dernier peut se faire sans avoir un amour platonique pour ce partenaire sexuel donc, ça n'a rien avoir ladans...
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